Traversées culturelles et Traces mémorielles en Afrique noire
Depuis l’avènement de la mondialisation dont de nombreux acteurs dénoncent les travers pour les entités « mineures » supposées moins capables de résister aux crocs acérés de la mondialisation, notamment ses menaces de phagocytage et d’effacement de toute authenticité des cultures spécifiques, de plus en plus de sociétés revisitent leur authenticité.
Détails sur le livre | |
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Auteur | Flora Amabiamina & Carole Njiomouo Langa |
ISBN | 978-9956-532-01-0 |
Nombre de pages de la version papier | 278 pages |
Format | 165x240 mm |
Date de publication | 2017 |
Editeur | Presses universitaires d'Afrique |
Langue | Français |
Depuis l’avènement de la mondialisation dont de nombreux acteurs dénoncent les travers pour les entités « mineures » supposées moins capables de résister aux crocs acérés de la mondialisation, notamment ses menaces de phagocytage et d’effacement de toute authenticité des cultures spécifiques, de plus en plus de sociétés revisitent leur authenticité. Les Africains comptent parmi les peuples les plus migrants du monde et voient de ce fait leurs arts de faire et de vivre muer. S’il est dorénavant difficile de parler d’authenticité de quelque système où qu’il soit, c’est en raison de leur pénétration par des éléments étrangers, intrusion rendue obligée par les déplacements divers des populations qui favorisent, par ailleurs, la circulation des cultures, des mémoires. C’est à pareille découverte qu’invite le collectif Traversées culturelles et traces mémorielles en Afrique.
Sommaire
Note de présentation : Comment traverser en conservant sa culture, son histoire et sa mémoire ? ................................................................... Par Flora AmAbiAminA
Mythisation du pouvoir en contexte postcolonial
dans Le Crâne de Gilbert Doho : une politique de dé/ sacralisation?................................................................................................................................... Par Carole njiomouo Langa
Le syncrétisme des croyances africaines et christianisme dans La nuit, les yeux ouverts d’Éric de Rosny .................................................................... Par Bernard Fils AmbAssA
Postures des acteurs et autonomie culturelle dans Le Pauvre Christ de Bomba de Mongo Béti .............................................................................. Par Clébert Agénor njimeni
Avènement et valeurs de la littérature africaine pour la jeunesse ................................................................................................................................................ Par Alain PAngoP KAmeni
Les écrivaines de la diaspora, figures émergentes de la vitrine littéraire camerounaise ......................................................................................................... Par Flora AmAbiAminA et Mireille nnAngA
L’effacement dans Les gommes d’Alain Robbe-Grillet et Véhi- Ciosane de Sembène Ousmane .......................Par Oumar guedALLA
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L’Enfant Terrible et la sorcière : réflexions sur l’adaptation cinématographique de Kirikou .......................................................................... Par Bana bArKA
Publicité et indigénisation de marques françaises au Cameroun : lire la signification textuelle dans la trace culturelle ........................... Par Ferdinand njoh Kome
Au bout des rêves… : le motif du retour au pays natal dans le roman sur l’immigration ..........................................................................................
Par Flora AmAbiAminA
Pratiques d’implication et d’accompagnement parental à la scolarité et performances intellectuelles chez des apprenants du secondaire dans la ville de Douala au Cameroun ................... Par Valère nKeLzoK Komtsindi
Environnement et anthroponymes au Cameroun : une créativité
« glotto-mythique » et contextuelle ...........................................................................
Par Dieudonné Martin Luther bôt
Pour ne pas conclure … .....................................................................................................
Par Carole njiomouo LAngA